O mort terrible fatalité
Tu réponds dans mon monde tan de douleur
Tu déchire les familles et sème le malheur
Tu marche toujours au cauté de la vie
Et se n’est pas quelque médicaments ni la fois ni
L’envie de vivre qui pourrons t’arrêté tu va
Cher les gens bon ou mauvais pour les confrontés a leur destinée
Ton jugement est souvent qualifié d’injuste
Implacable fatalité noir et sans pitié tu
Emporte aussi bien les riches que les pauvre
Les beau et les moches et grand comme
Les mioches
Mais sans toi le monde ne tournerai pas il serré balayé par la haine de l’humanité
Je comprends l’importance de ton métier
S’est plutôt la vie qu’il faudrait détesté
Tu réponds dans mon monde tan de douleur
Tu déchire les familles et sème le malheur
Tu marche toujours au cauté de la vie
Et se n’est pas quelque médicaments ni la fois ni
L’envie de vivre qui pourrons t’arrêté tu va
Cher les gens bon ou mauvais pour les confrontés a leur destinée
Ton jugement est souvent qualifié d’injuste
Implacable fatalité noir et sans pitié tu
Emporte aussi bien les riches que les pauvre
Les beau et les moches et grand comme
Les mioches
Mais sans toi le monde ne tournerai pas il serré balayé par la haine de l’humanité
Je comprends l’importance de ton métier
S’est plutôt la vie qu’il faudrait détesté