FORET AU PRINTEMPS
Les hirondelles volent à tire-d’aile,
Pour annoncer la bonne nouvelle,
Dans nos forêts, voici venir le printemps,
Elle sort de son sommeil profond,
Laissant derrière elle, un long hiver.
Le soleil filtre ses doux rayons,
A travers ses feuillages verts luisants.
On entend au lointain,
A deux pas de la clairière,
Le trot galant des chevaux,
Qui flânent dans tes univers cristallins,
Où roucoulent des ruisseaux, presque transparents,
Dans lesquels, nagent quelques poissons malins.
Dans tes grands chênes verdoyants,
S’élançant fiers vers le firmament,
Se nichent les petits oiseaux,
Qui gazouillent, de l’aube au crépuscule,
Toutes sortes d’animaux,
Viennent s’abriter, dans ton décor champêtre,
Même les écureuils vifs et sauvages,
Balayent tout, sur leur passage,
Semblent jouer à cache-cache.
Dans la forêt, ce soir, c’est la fête,
Tout le monde s’est donné rendez-vous,
Pour célébrer le Printemps, au clair de lune,
Même l’ami Pierrot, a quitté sa plume,
A gorge déployée, il chante à tue-tête,
Personne ne jouera au méchant loup,
Au ciel de tes premiers bourgeons,
On aura plus au grand jamais le bourdon.
Les hirondelles volent à tire-d’aile,
Pour annoncer la bonne nouvelle,
Dans nos forêts, voici venir le printemps,
Elle sort de son sommeil profond,
Laissant derrière elle, un long hiver.
Le soleil filtre ses doux rayons,
A travers ses feuillages verts luisants.
On entend au lointain,
A deux pas de la clairière,
Le trot galant des chevaux,
Qui flânent dans tes univers cristallins,
Où roucoulent des ruisseaux, presque transparents,
Dans lesquels, nagent quelques poissons malins.
Dans tes grands chênes verdoyants,
S’élançant fiers vers le firmament,
Se nichent les petits oiseaux,
Qui gazouillent, de l’aube au crépuscule,
Toutes sortes d’animaux,
Viennent s’abriter, dans ton décor champêtre,
Même les écureuils vifs et sauvages,
Balayent tout, sur leur passage,
Semblent jouer à cache-cache.
Dans la forêt, ce soir, c’est la fête,
Tout le monde s’est donné rendez-vous,
Pour célébrer le Printemps, au clair de lune,
Même l’ami Pierrot, a quitté sa plume,
A gorge déployée, il chante à tue-tête,
Personne ne jouera au méchant loup,
Au ciel de tes premiers bourgeons,
On aura plus au grand jamais le bourdon.